Une page est tournée définitivement. Les querelles de clocher, tout à fait internes au village, laissent place à une vision de plus en plus large vers l'extérieur. Les communautés de communes se chargent d'orienter le destin de nos campagnes.
Qu'en penseraient les intéressés, le soir à la veillée, le dimanche au café ? Ontils imaginé qu'un jour les églises seraient vides, que leurs rues ne verrainet plus courir les bandes de gamins et que les coqs ne pourraient plus chanter ? Qu'ils finiraient leurs jours isolés de leur descendance partie vivre à la ville ?
1900, ce n'était pas la belle époque, loin de là. Reconnaissons honnêtement que cela ne l'est pas davantage aujourd'hui.
Qu'en sera-t-il demain ?